quand l'eau est très salée, elle devient rose. C'est dû à une algue qui libère du carotène.
Impressions Thomas
Il y a 15 ans
jeudi 29 mai 2008
L'eau devient rose
quand l'eau est très salée, elle devient rose. C'est dû à une algue qui libère du carotène.
Porte martelière
Les portes martelières étaient des sortes d'écluses pour faire entrer l'eau de mer dans les bassins.
Compte rendu de la journée du 29 mai.
Bonjour,
Voici le résumé de la journée du 29 mai.
Ce matin, nous avons visité le marais salant des Pesquiers.
Ils se trouvent entre les deux tombolos de la presqu’île de Giens. Ce sont deux bras de terre qui relient l’île de Giens à la terre. Ils n’existaient pas il y a quelques milliers d’années.
Les marais salants servaient à extraire le sel de la mer pour le consommer. On extrayait 48 000 tonnes de sel chaque année.
Fin mars, les hommes faisaient entrer 5 millions de m3 d’eau dans de grand étang, l’étang des Pesquiers. L’eau passait de réservoirs en réservoirs et devenait de plus en plus salée. L’eau s’est évaporée grâce au Mistral.
La récolte de sel se faisait de la fin du mois d’août au début du mois de septembre.
De nos jours ces marais ne sont plus en fonction, mais on les garde en état parce qu’ils abritent des oiseaux protégés : des tadornes de belon (sorte de gros canards), des échasses, des avocettes et même des flamants roses .
Cet après midi, nous sommes allés à la plage, nous avons eu des moments de détente.
Ce soir, nous rangeons nos chambres, demain, c’est le retour.
Nous avons passé une semaine excellente, découvert de nouvelles choses …
Nous rentrons demain, nous serons à Moulins à 17 heures 41.
Météo : Aujourd’hui, il a fait doux, et lourd.
Signé : Vanille, Manon, Romain et Simon.
Voici le résumé de la journée du 29 mai.
Ce matin, nous avons visité le marais salant des Pesquiers.
Ils se trouvent entre les deux tombolos de la presqu’île de Giens. Ce sont deux bras de terre qui relient l’île de Giens à la terre. Ils n’existaient pas il y a quelques milliers d’années.
Les marais salants servaient à extraire le sel de la mer pour le consommer. On extrayait 48 000 tonnes de sel chaque année.
Fin mars, les hommes faisaient entrer 5 millions de m3 d’eau dans de grand étang, l’étang des Pesquiers. L’eau passait de réservoirs en réservoirs et devenait de plus en plus salée. L’eau s’est évaporée grâce au Mistral.
La récolte de sel se faisait de la fin du mois d’août au début du mois de septembre.
De nos jours ces marais ne sont plus en fonction, mais on les garde en état parce qu’ils abritent des oiseaux protégés : des tadornes de belon (sorte de gros canards), des échasses, des avocettes et même des flamants roses .
Cet après midi, nous sommes allés à la plage, nous avons eu des moments de détente.
Ce soir, nous rangeons nos chambres, demain, c’est le retour.
Nous avons passé une semaine excellente, découvert de nouvelles choses …
Nous rentrons demain, nous serons à Moulins à 17 heures 41.
Météo : Aujourd’hui, il a fait doux, et lourd.
Signé : Vanille, Manon, Romain et Simon.
mercredi 28 mai 2008
Une maquette
Cette maquette a 250 ans. A cette époque, on utilisait des maquettes pour l'instruction des futurs marins.
Compte rendu de la journée du 28 mai
Bonjour,
Voici le résumé de la journée du 27 mai.
Ce matin, nous avons quitté le centre à 9 h 15 pour nous rendre à Toulon. Après une promenade le long du quai du port de plaisance, nous avons fait une balade en bateau dans la rade. Nous avons vu le porte-avions Charles de Gaulle, en cale sèche pour le rechargement des deux réacteurs nucléaires et des travaux divers. Nous avons aussi vu des avisos, des frégates anti-aériennes, la Foudre et le Tonnerre. Le fond le la rade abrite les bâtiments de l’IFREMER. C’est l’ L'Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer. Deux robots sont exposés sur le quai.
Tout au fond de la rade, on élève des moules et des dorades. Nous avons vu entrer dans la rade un immense ferry venant de Corse appartenant à la compagnie Corsica Ferries.
Nous avons piqueniqué dans le square Alexandre 1er.
A 14 heures, nous avions rendez-vous avec une conférencière pour visiter le musée de la marine de Toulon. Elle nous a présenté la marine du XVIII° siècle. Les bateaux étaient construits en bois. Il fallait environ trois mille arbres pour construire la coque. Les mats, hauts de soixante-dix mètres étaient en sapin et il fallait trois ou quatre arbres pour faire un mat. Les poulies étaient en gaillac, en bois si lourd qu’il coule, les cardages en chanvre. Sur le bateau présenté, il y avait quatre-vingts kilomètres de cordage Les canons étaient très lourds (entre 1,5 tonne et 2,5 tonnes pour une longueur de 3 mètres) il fallait 14 hommes pour manœuvrer un seul canon, et comme il y avait 74 canons à bord, il fallait plus de mille marins. Nous avons vu le buste de Louis Casabianca, officier de marine, et commandant du vaisseau L'Orient à la bataille d'Aboukir en Egypte. Il mourut avec son fils de dix ans lors de cette bataille. La conférencière nous a appris que depuis cette bataille, la Marine française a toujours donné ce nom à un navire.
Sur un bateau, il n’y a pas de corde, ce mot est réservé aux cordes servant à pendre les condamnés.
Météo : Il a fait beau, un peu couvert en fin de journée. Il faisait environ 25 degrés.
Signé : Ludivine et Thomas
Voici le résumé de la journée du 27 mai.
Ce matin, nous avons quitté le centre à 9 h 15 pour nous rendre à Toulon. Après une promenade le long du quai du port de plaisance, nous avons fait une balade en bateau dans la rade. Nous avons vu le porte-avions Charles de Gaulle, en cale sèche pour le rechargement des deux réacteurs nucléaires et des travaux divers. Nous avons aussi vu des avisos, des frégates anti-aériennes, la Foudre et le Tonnerre. Le fond le la rade abrite les bâtiments de l’IFREMER. C’est l’ L'Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer. Deux robots sont exposés sur le quai.
Tout au fond de la rade, on élève des moules et des dorades. Nous avons vu entrer dans la rade un immense ferry venant de Corse appartenant à la compagnie Corsica Ferries.
Nous avons piqueniqué dans le square Alexandre 1er.
A 14 heures, nous avions rendez-vous avec une conférencière pour visiter le musée de la marine de Toulon. Elle nous a présenté la marine du XVIII° siècle. Les bateaux étaient construits en bois. Il fallait environ trois mille arbres pour construire la coque. Les mats, hauts de soixante-dix mètres étaient en sapin et il fallait trois ou quatre arbres pour faire un mat. Les poulies étaient en gaillac, en bois si lourd qu’il coule, les cardages en chanvre. Sur le bateau présenté, il y avait quatre-vingts kilomètres de cordage Les canons étaient très lourds (entre 1,5 tonne et 2,5 tonnes pour une longueur de 3 mètres) il fallait 14 hommes pour manœuvrer un seul canon, et comme il y avait 74 canons à bord, il fallait plus de mille marins. Nous avons vu le buste de Louis Casabianca, officier de marine, et commandant du vaisseau L'Orient à la bataille d'Aboukir en Egypte. Il mourut avec son fils de dix ans lors de cette bataille. La conférencière nous a appris que depuis cette bataille, la Marine française a toujours donné ce nom à un navire.
Sur un bateau, il n’y a pas de corde, ce mot est réservé aux cordes servant à pendre les condamnés.
Météo : Il a fait beau, un peu couvert en fin de journée. Il faisait environ 25 degrés.
Signé : Ludivine et Thomas
mardi 27 mai 2008
Laora
Les sous-mariniers se sont fait une grande joie d'aider Laora à franchir les nombreux escaliers des bâtiments de l'escadrille des SNA et de l'école des sous-mariniers.
Machine pour fabriquer de l'air à partir de l'eau de mer
Dans le sous-marin, l'air que l'équipage respire est fabriqué à partir de l'eau de mer.
Mardi 27 mai
Bonjour,
Voici le résumé de la journée du 27 mai.
Ce matin, nous sommes partis du centre à 9 h 15 pour nous rendre à la base navale de Toulon. Nous avions rendez-vous avec l’équipage rouge du Casabianca. Le Commandant Hermann nous a reçus avec une partie de son équipage.
Le matin, nous visité le Perle. C’est un des six sous-marins nucléaires d’attaque français. Le Saphir et l’Améthyste étaient aussi au port.
Nous avons été impressionnés par tous les appareils électroniques embarqués, les chambres très petites (il arrive même des fois que des marins dorment à côté des torpilles). Tous les espaces sont utilisés pour embarquer de la nourriture. La plus grande pièce est la cafétéria, elle mesure 14 m² et les marins sont vingt à chaque repas. Nous avons fait des photos de groupe devant le Perle.
A midi, l’équipage nous a invités à un barbecue très bien organisé.
L’après-midi, nous avons visité l’école des sous-mariniers. Nous sommes entrés dans un simulateur « Sirius » : on a simulé une descente à 200 mètres puis une avarie d’étanchéité, nécessitant une remontée à la surface en toute urgence.
Les autres simulateurs étaient consacrés à la chaufferie nucléaire d’un SNA et celle du porte-avions Charles-de-Gaulle.
Dans le simulateur Saturne, une dizaine d’officiers et de sous-officiers simulaient une attaque d’un navire ennemi. Ce genre de simulation est très compliqué et dure de quatre à six heures.
Avant de nous quitter, le second du Casabianca, nous a remerciés pour l’attention que nous avons apportée à la visite et nous a offert des présents.
Pour la classe, le Commandant Hermann a offert un « tape-bouche », c’est un gros écusson du Casabianca en étain. Autrefois, on s’en servait pour boucher les canons pour pas qu’ils ne rouillent de l’intérieur.
Puis, nous sommes remontés dans le car pour visiter l’arsenal. Nous avons vu le Tonnerre, un navire de 200 mètres, des frégates furtives (que les radars ne peuvent pas détecter), le Foudre puis le porte avions Charles de Gaulle.
Nous sommes enfin rentrés à Costebelle à 18 heures 15, bien fatigués mais très heureux de notre journée.
Demain, nous retournons à Toulon pour faire un tour de bateau dans la rade, puis visiter le musée de la Marine.
Météo : Ce matin, nous avons eu assez fort orage à 8 heures, puis il a fait beau après, et même chaud (27 °).
Signé : Mélanie, Lucie, Mayeul, Alexis et Samuel.
Voici le résumé de la journée du 27 mai.
Ce matin, nous sommes partis du centre à 9 h 15 pour nous rendre à la base navale de Toulon. Nous avions rendez-vous avec l’équipage rouge du Casabianca. Le Commandant Hermann nous a reçus avec une partie de son équipage.
Le matin, nous visité le Perle. C’est un des six sous-marins nucléaires d’attaque français. Le Saphir et l’Améthyste étaient aussi au port.
Nous avons été impressionnés par tous les appareils électroniques embarqués, les chambres très petites (il arrive même des fois que des marins dorment à côté des torpilles). Tous les espaces sont utilisés pour embarquer de la nourriture. La plus grande pièce est la cafétéria, elle mesure 14 m² et les marins sont vingt à chaque repas. Nous avons fait des photos de groupe devant le Perle.
A midi, l’équipage nous a invités à un barbecue très bien organisé.
L’après-midi, nous avons visité l’école des sous-mariniers. Nous sommes entrés dans un simulateur « Sirius » : on a simulé une descente à 200 mètres puis une avarie d’étanchéité, nécessitant une remontée à la surface en toute urgence.
Les autres simulateurs étaient consacrés à la chaufferie nucléaire d’un SNA et celle du porte-avions Charles-de-Gaulle.
Dans le simulateur Saturne, une dizaine d’officiers et de sous-officiers simulaient une attaque d’un navire ennemi. Ce genre de simulation est très compliqué et dure de quatre à six heures.
Avant de nous quitter, le second du Casabianca, nous a remerciés pour l’attention que nous avons apportée à la visite et nous a offert des présents.
Pour la classe, le Commandant Hermann a offert un « tape-bouche », c’est un gros écusson du Casabianca en étain. Autrefois, on s’en servait pour boucher les canons pour pas qu’ils ne rouillent de l’intérieur.
Puis, nous sommes remontés dans le car pour visiter l’arsenal. Nous avons vu le Tonnerre, un navire de 200 mètres, des frégates furtives (que les radars ne peuvent pas détecter), le Foudre puis le porte avions Charles de Gaulle.
Nous sommes enfin rentrés à Costebelle à 18 heures 15, bien fatigués mais très heureux de notre journée.
Demain, nous retournons à Toulon pour faire un tour de bateau dans la rade, puis visiter le musée de la Marine.
Météo : Ce matin, nous avons eu assez fort orage à 8 heures, puis il a fait beau après, et même chaud (27 °).
Signé : Mélanie, Lucie, Mayeul, Alexis et Samuel.
lundi 26 mai 2008
Lundi 26 mai
Bonjour,
Voici le résumé de la journée du 26 mai.
Nous sommes partis de Moulins comme prévu, à 9 heures. La première partie du voyage a été un peu longue, on était mélangés avec d’autres voyageurs.
La gare de Lyon Part-Dieu est très grande. Pour passer d’un quai à un autre, c’était très compliqué et nous avons eu juste le temps de trouver notre TGV.
Dans le TGV, nous étions tous regroupés puisque nous avions des places numérotées. Nous en avons profité pour déjeuner puis jouer à des jeux de société. Il nous a fallu un peu plus d’une heure trente pour faire le trajet Lyon-Marseille.
A Marseille, certains sont sortis devant la gare Saint Charles et nous avons vu Notre Dame de la Garde.
Pour nous rendre de Marseille à Toulon, les wagons étaient à compartiments, et il faisait très chaud.
A Toulon, noter car est arrivé à la gare en même temps que nous et nous a transporté jusqu’à la villa Costebelle, à Hyères.
Nous nous sommes installés dans nos chambres, rangé les vêtements dans les armoires et les commodes. Lors d’un goûter offert par le centre, nous avons fait la rencontre de Thomas, l’animateur. Les soirs, il nous proposera des activités diverses, en fonction du temps.
La villa est accueillante, le parc est agréable. Les repas se prendront à l’intérieur ou si le temps le permet sur une terrasse à l’extérieur.
Demain, nous nous rendrons à Toulon, à la base des Sous-marins Nucléaires d’Attaque. Nous visiterons l’école des sous-mariniers et un sous-marin. A midi, les marins nous invitent à manger un barbecue.
Météo :
Ce soir, il fait chaud, et lourd.
Signé : Adam, Yoann, Etienne, Louis-Alexis, Simon.
Voici le résumé de la journée du 26 mai.
Nous sommes partis de Moulins comme prévu, à 9 heures. La première partie du voyage a été un peu longue, on était mélangés avec d’autres voyageurs.
La gare de Lyon Part-Dieu est très grande. Pour passer d’un quai à un autre, c’était très compliqué et nous avons eu juste le temps de trouver notre TGV.
Dans le TGV, nous étions tous regroupés puisque nous avions des places numérotées. Nous en avons profité pour déjeuner puis jouer à des jeux de société. Il nous a fallu un peu plus d’une heure trente pour faire le trajet Lyon-Marseille.
A Marseille, certains sont sortis devant la gare Saint Charles et nous avons vu Notre Dame de la Garde.
Pour nous rendre de Marseille à Toulon, les wagons étaient à compartiments, et il faisait très chaud.
A Toulon, noter car est arrivé à la gare en même temps que nous et nous a transporté jusqu’à la villa Costebelle, à Hyères.
Nous nous sommes installés dans nos chambres, rangé les vêtements dans les armoires et les commodes. Lors d’un goûter offert par le centre, nous avons fait la rencontre de Thomas, l’animateur. Les soirs, il nous proposera des activités diverses, en fonction du temps.
La villa est accueillante, le parc est agréable. Les repas se prendront à l’intérieur ou si le temps le permet sur une terrasse à l’extérieur.
Demain, nous nous rendrons à Toulon, à la base des Sous-marins Nucléaires d’Attaque. Nous visiterons l’école des sous-mariniers et un sous-marin. A midi, les marins nous invitent à manger un barbecue.
Météo :
Ce soir, il fait chaud, et lourd.
Signé : Adam, Yoann, Etienne, Louis-Alexis, Simon.
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